Il y a les colonnes de Buren, et il y a celles de Dubreuil : les colonnes des journaux dont l’artiste concret fait le point de départ de ses peintures.
Selon un système codifié (une couleur pour l’éditorial, une autre pour l’image, une autre encore pour les espaces publicitaires…), l’artiste traduit des pages de journaux en aplats de couleurs. Les grands tableaux abstraits qui en découlent se situent entre analyse sociologique de l’information, approche oulipienne de la peinture et plaisir esthétique pur.
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Jean-François Dubreuil - En galerie
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°756 du 1 juillet 2022, avec le titre suivant : Jean-François Dubreuil - En galerie