La foire spécialisée dans l’art africain revient au Carreau du Temple et aborde cette septième édition comme un passage au niveau supérieur.
Décidée à jouer un rôle de premier plan dans la structuration d’un marché en plein essor, elle rassemble une trentaine de galeries internationales. Cette sélection réduite comporte aussi bien de jeunes exposants, comme les parisiennes Afikaris et Bonne Espérance Gallery, que des marchands plus établis parmi lesquels André Magnin, Anne de Villepoix, les Vallois, ou encore le Bruxellois Didier Claes. AKAA se dote également cette année d’une plateforme digitale dédiée à six galeries africaines dans l’impossibilité de faire le déplacement, formule en accès VIP dès le 4 novembre, ouverte au grand public à partir du 12 novembre. Parmi les nouveautés symboliques de cette édition 2021, la publication d’un catalogue documentant la centaine d’artistes présentés sur la foire, ainsi qu’un partenariat inédit avec la maison de ventes britannique Bonhams, l’une des premières à avoir développé un département dédié à l’art africain. Cette institution du second marché exposera à l’ouverture de la foire quelques-unes des œuvres qui seront ensuite mises aux enchères lors de sa vente du 13 novembre à Paris. Enfin, une programmation culturelle « À rebrousse-temps » de conférences, de projections, de performances et de lectures entend créer des occasions d’échanges entre professionnels et amateurs le temps de la foire, où le public sera accueilli par une installation textile monumentale de l’artiste Morné Visagie.
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AKAA affirme son ambition
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°748 du 1 novembre 2021, avec le titre suivant : AKAA affirme son ambition