MANTES-LA-JOLIE - Longtemps exposée aux intempéries et à la pollution, la rose ouest de la collégiale de Mantes-la-Jolie (Yvelines) a retrouvé sa splendeur au terme d’une importante restauration.
Illustrant le thème du Jugement dernier, elle conserve un grand nombre de verres datés des années 1280, ce qui lui confère une valeur patrimoniale exceptionnelle. Les travaux ont porté à la fois sur la structure de l’ouvrage, laquelle a fait l’objet d’un nettoyage général, et sur les vitraux (préservation des verres anciens et rétablissement de la cohérence de la composition grâce à la reconstitution des verres fracturés et la restitution du graphisme originel des plombs).
Ils ont été réalisés sous la conduite de Philippe Oudin, architecte en chef des Monuments historiques, grâce aux financements conjoints du ministère de la Culture et de la Communication, de la Région Île-de-France, du département des Yvelines et de la Ville de Mantes-la-Jolie, avec le soutien de la Fondation Gaz de France.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
La rosace de Mantes-la-Jolie restaurée
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°196 du 25 juin 2004, avec le titre suivant : La rosace de Mantes-la-Jolie restaurée