Pour son deuxième solo show à la Mazel Galerie, le peintre Vincent Corpet, né en 1958 à Paris, a convoqué les maîtres de l’art, tant anciens que modernes et contemporains : Holbein, David, Lichtenstein, etc. Ce sont leurs tableaux recopiés en noir et blanc qui servent de fond à ses nouvelles peintures. Attention, le terme Fuck Maîtres n’est pas à lire ici comme une moquerie grossière à l’égard des chefs-d’œuvre, il s’agit pour l’artiste de « faire l’amour » avec nos idoles, l’idée étant que le spectateur noue un véritable rapport physique avec le tableau. La référence n’est pas ici révérence, plutôt un rêve errant nous invitant à reconsidérer la peinture comme un paysage nouveau.
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Vincent Corpet, en galerie
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Abonnez-vous dès 1 €Mazel Galerie, 22, rue Capitaine-Crespel, Bruxelles (Belgique), www.mazelgalerie.com
Cet article a été publié dans L'ŒIL n°662 du 1 novembre 2013, avec le titre suivant : Vincent Corpet, en galerie