« Tu connais Glooscap ? J’y suis né, mais il y a neuf ou dix ans que je n’y suis pas venu. » C’est par ce dialogue de film qu’Alain Bublex accueille les visiteurs dans sa bonne métropole de Glooscap.
Mais malgré son statut de 51e ville du monde, le réseau urbain de Glooscap-Koluskap, situé dans l’Est canadien, n’existe pas. Enfin, pas moins qu’un lieu où l’on ne s’est jamais rendu physiquement. Car les représentations de la ville et de ses trois millions d’habitants ne manquent pas : portrait du maire, office de tourisme, documents patrimoniaux… Jusqu’au 13 janvier, la Maison européenne de la photographie (www.mep-fr.org, tél. 01 44 78 75 00) regroupe la somme produite et réunie ses dernières années par Alain Bublex sur le sujet. Malgré son profil d’ingénieur, celui-ci livre également un documentaire songeur sur les populations indiennes de Glooscap.
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Ville à vivre
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°135 du 26 octobre 2001, avec le titre suivant : Ville à vivre