Versailles incarne à tel point le Grand Siècle français que l’on ignore souvent l’influence fondamentale de l’Antiquité sur le château et les jardins.
Et pourtant, la démesure du projet, les choix iconographiques et les nombreuses sculptures antiques collectionnées par Louis XIV témoignent de l’ambition du souverain de hisser son domaine au statut de nouvelle Rome. Un enjeu autant artistique que politique pour le Roi-Soleil, qui s’était placé sous la protection d’Apollon, dieu gréco-romain des Arts.
Place d’Armes, Versailles (78), www.chateauversailles.fr
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Versailles, la nouvelle Rome
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°649 du 1 septembre 2012, avec le titre suivant : Versailles, la nouvelle Rome