PARIS
Pour la première exposition dont elle assure le commissariat en tant que directrice générale de la collection Pinault, Emma Lavigne a choisi le prisme d’un insaisissable infini.
Invitation à la méditation des œuvres réfléchissantes de Larry Bell, Rudolf Stingel, Liz Deschenes ou Nina Canell, instant suspendu des visions fugaces de Wolfgang Tillmans ou de Sherrie Levine, rassemblant une vingtaine d’artistes, Une seconde d’éternité ouvre à travers leurs œuvres une faille spatio-temporelle.
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Une seconde d’éternité
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°756 du 1 juillet 2022, avec le titre suivant : Une seconde d’éternité