Quelques mois avant l’année 2016 qui commérera le centenaire de Dada, Strasbourg célébrera le poète Tristan Tzara. Plus de quatre cents œuvres dresseront un portrait dépoussiéré de l’écrivain engagé en le sortant des clichés habituels (comme, par exemple, la brouille avec le fondateur du surréalisme André Breton). On y (re)découvrira notamment un Tzara collectionneur, grand amateur d’arts premiers, homme pourchassé durant la Seconde Guerre mondiale par les nazis, qui rejoindra le Parti communiste avant de signer le Manifeste des 121 au moment de la guerre d’Algérie. « Rassurez-vous, vous ne trouverez pas dans cette exposition la chaise ou le porte-plume de Tzara », prévient Serge Fauchereau, commissaire de cette expo avec Estelle Pietrzyk, mais des œuvres de Brancusi, Brauner, Delaunay, Ernst, Duchamp, Klee, Picabia, Schwitters, Zadkine, etc.
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Tristan Tzara, L’homme approximatif
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°682 du 1 septembre 2015, avec le titre suivant : Tristan Tzara, L’homme approximatif