Le nom d’Abraham Grapheus, commis de la guilde de Saint-Luc d’Anvers entre 1580 et 1624, est passé à la postérité grâce aux portraits qu’ont faits de lui les peintres flamands Anton Van Dyck et surtout Jacob Jordaens.
Ce dernier l’utilisa plus d’une fois comme modèle pour peindre ses figures d’apôtres. Autour de la version du Musée des beaux-arts de Caen, hôte de cette exposition-dossier, sont rassemblés, pour la première fois, tous les portraits de Grapheus qui permettent, ensemble, de réévaluer la place de la tête d’expression dans la peinture flamande de la première moitié du XVIIe siècle.
Musée des beaux-arts, Caen (14), www.ville-caen.fr/mba
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Tête d’apôtre
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°648 du 1 juillet 2012, avec le titre suivant : Tête d’apôtre