Une mer sauvage, des bateaux fracassés. En même temps que la terreur, les tempêtes éveillent le sentiment du sublime et la conscience de notre fragilité.
Inspirés par la contemplation de la nature et les récits littéraires, les peintres s’emparent de ce sujet à partir du XVIIIe siècle. Des textes de Diderot, Chateaubriand ou Hugo lus par Guillaume Gallienne, de la Comédie française, ainsi que des créations musicales de Liszt ou Beethoven, accompagnent au Musée de la vie romantique dessins, peintures et estampes de Vernet, Géricault, Boudin ou Courbet.
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Cet article a été publié dans L'ŒIL
n°745 du 1 juillet 2021, avec le titre suivant : Tempêtes et naufrages