La perplexité – aucune signalétique ne signale l’exposition – est de taille quand on découvre la vaste salle où Stéphane Pencréac’h (artiste français né en 1970) présente quatre « peintures d’histoire ».
Le peintre tente de donner forme à quatre plaies vives qui entaillent l’humanité toute entière. Les toiles ont pour titre : Tombouctou, Tunis, Tripoli et Le Caire. Le projet est courageux, mais ici l’exaltation picturale de drames de la scène de l’histoire contemporaine apparaît bien formaliste. Pourquoi les quelques photos ayant servi de point de départ au peintre, et montrées dans l’exposition, semblent-elles plus présentes et signifiantes que les quatre très grandes toiles ?
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Stéphane Pencréac’h
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Cet article a été publié dans L'ŒIL n°670 du 1 juillet 2014, avec le titre suivant : Stéphane Pencréac’h