En 1984, Sophie Ristelhueber s’était intéressée dans le cadre de la mission photographique de la Datar aux paysages entaillés par les voies ferrées, ponts, barrages ; clichés en noir et blanc, relégués et redécouverts récemment.
Concentrée sur une poignée de ses photographies, sur lesquelles elle a peint, reprenant minutieusement à l’acrylique le paysage couturé par l’homme avant de la scanner puis de tirer en grand ou moyen format chaque image, l’artiste avec cette nouvelle série énigmatique, intitulée Track, innove dans sa démarche tout en poursuivant sa réflexion sur l’empreinte des faits et actes, mais aussi sur le médium photographique.
« Sophie Ristelhueber, Track »,
Galerie Catherine Putman, 40, rue Quincampoix, Paris-4e, www.catherineputman.com
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Sophie Ristelhueber
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°655 du 1 mars 2013, avec le titre suivant : Sophie Ristelhueber