Art millénaire, pétri de traditions ancestrales et d’imageries religieuses, l’art aborigène australien est aussi foncièrement moderne.
À l’occasion des Jeux olympiques de Sydney, le Musée olympique de Lausanne a choisi une cinquantaine de toiles et quelques sculptures mettant en évidence l’art aborigène d’aujourd’hui (tél. 41 21 621 65 11, jusqu’au 15 octobre).
Parallèlement, Stéphane Jacob, spécialiste de la création australienne, organise trois expositions dans les vitrines des Galeries Lafayette Homme (15-30 septembre) et à l’ESPACEadamskiDESIGNS (« Accents australiens », 12-28 septembre), à Paris (tél. 01 44 54 80 90), avec une sélection de peintures, sculptures aborigènes et d’art occidental australien, et, enfin, dans la galerie de Michael Carr, située au cœur du quartier historique de Sydney, à travers la manifestation « Australie : quand la lumière rencontre la matière » (tél. 61 2 9223 4055, jusqu’au 30 septembre). C’est l’occasion d’apprécier des peintres comme Dave Pwerle Rose, Linda Syddick, qui perpétuent le souvenir du temps mythique du rêve tout en se renouvelant, ou encore Ann Thomson, Wilma Tabacco et Christopher Croft, qui puisent leur inspiration dans l’art européen.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Saison australienne
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°110 du 8 septembre 2000, avec le titre suivant : Saison australienne