Sculptures monumentales, peintures sur cuir et tissu, vidéos : cette première exposition d’envergure dédiée en France à Raphaela Vogel offre l’occasion de découvrir un langage dont les thèmes de prédilection (la mort, la violence) sont tempérés par une forme d’humour.
Les références à la culture populaire s’entremêlent avec des documents intimes, tentative d’évocation d’une « sainte vacuité » symptomatique de l’époque. Désordre bien ordonné commence par soi-même.
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« My Appropriation of Her Holy Hollowness »,
Confort moderne, 185, rue du Faubourg-du-Pont-Neuf, Poitiers (86),
www.confort-moderne.fr
Cet article a été publié dans L'ŒIL
n°745 du 1 juillet 2021, avec le titre suivant : Raphaela Vogel