L’abbaye d’Auberive, datant du XIIe siècle et abritant la collection de Jean-Claude Volot (1949), majoritairement consacrée à l’art singulier, met en lumière l’œuvre de Philippe Aïni (1952).
En tant qu’artiste autodidacte et complet, pâtissier de formation, il ne cesse d’expérimenter diverses techniques (fresque, céramique, peinture, etc.) et matériaux (bois, métal, etc.). Bien que ses visions de corps déformés, malmenés, motif récurrent dans sa carrière, fassent écho à l’esthétique de Dubuffet, l’artiste a su construire un langage unique et revendiquer une totale liberté.
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Pleins phares sur Philippe Aïni
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°766 du 1 juillet 2023, avec le titre suivant : Pleins phares sur Philippe Aïni