Pierre Bonnard a toujours considéré le dessin comme un travail préparatoire à d’autres œuvres (peintures, illustrations pour La Revue blanche...) Il n’est pas une fin en soi mais une étape. Ce qui n’enlève rien aux qualités artistiques de ces petits formats exécutés entre 1892 et 1940 à la mine de plomb et au fusain, simples ébauches ou croquis plus aboutis. Une centaine de feuilles sont ici réunies, qui constituent autant de jalons d’une vie d’artiste. Ces nus féminins, natures mortes et autres paysages du midi ou de Normandie proviennent pour la plupart de la collection d’Antoine Sapiro, constituée dans les années 60.
Ils apportent une autre lumière sur l’œuvre peint et les différents moments de son élaboration.
- PARIS, galerie Aittouarès, 2, rue des Beaux-Arts et galerie Berthet-Aittouarès, 29, rue de Seine, tél. 01 43 26 53 09, 15 mars-13 avril.
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Pierre Bonnard, desseins de peintre
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°535 du 1 avril 2002, avec le titre suivant : Pierre Bonnard, desseins de peintre