Comment ces pinceaux, ces poudriers, ces peignes sculptés, ces miroirs, ces coffrets somptueusement décorés de nacre, ces perruques miniatures qui témoignent de la sophistication des coiffures se sont-ils échappés des estampes où ils apparaissent ? C’est la question que se pose le visiteur en déambulant dans la merveilleuse exposition « Secrets de beauté », où l’on peut admirer, outre ces très beaux objets, quelque 150 estampes qui dévoilent subtilement les rituels et les codes de beauté des femmes à l’époque Edo, entre le XVIIe et le XIXe siècle.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Miroir, mon beau miroir japonais
Pas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €
« Secrets de beauté. Maquillage et coiffures de l’époque Edo dans les estampes japonaises »,
Maison de la culture du Japon, 101 bis, quai Branly, Paris-15e,
www.mcjp.fr
Cet article a été publié dans L'ŒIL
n°745 du 1 juillet 2021, avec le titre suivant : Miroir, mon beau miroir japonais