En 1930, Matise se rend à Tahiti. Ce n’est que quinze ans plus tard qu’il réalise les deux grands papiers gouachés et découpés, Océanie, le ciel, Océanie la mer. Autour de ces deux œuvres monumentales est regroupé un ensemble de dessins, mais aussi des photographies, une peinture et des souvenirs de voyages qui résument cette influence océanienne à la fin des années quarante.
Le Cateau-Cambrésis, Musée Matisse, jusqu’au 28 juin.
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Matisse sous influence océanienne
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°497 du 1 juin 1998, avec le titre suivant : Matisse sous influence océanienne