Trois ans après son installation à Barcelone, le Musée Barbier-Mueller d’Art précolombien présente sa première grande exposition consacrée à l’art du sud de l’Amérique centrale (Nicaragua, Costa Rica, Panama), cette « ère intermédiaire » que Christophe Colomb explora lors de son quatrième et dernier voyage, en 1502. Impressionné par l’abondance de l’or dans les parures indiennes de cette région, il la baptisa Costa Rica (côte riche). Moins bien connues que les grandes civilisations inca ou maya, ces cultures d’Amérique centrale gardent encore beaucoup de leurs secrets. La collection Barbier-Mueller compte une cinquantaine de pièces, objets, sculptures en pierre et céramiques aux décors peints d’une exceptionnelle beauté.
BARCELONE, Musée Barbier-Mueller d’Art précolombien, jusqu’au 15 avril.
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Les secrets de la côte riche
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°523 du 1 février 2001, avec le titre suivant : Les secrets de la côte riche