Cet artiste canadien utilise la photographie, aujourd’hui celle d’un paysage qu’il découpe en petits morceaux. Ces petits bouts de photo sont ensuite placés dans de petits boitiers qu’il assemble minutieusement jusqu’à reconstituer l’image initiale. De cette mosaïque illusionniste apparait comme un trop plein d’images, une saturation d’informations qui permet de réfléchir sur le statut de la représentation d’un objet. Il se dégage de ces installations un véritable univers poétique que l’habileté du procédé pourrait faire oublier.
Galerie Patricia Dorfmann, 28 mai-11 juillet.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Les objets recomposés de Pellegrinuzzi
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°497 du 1 juin 1998, avec le titre suivant : Les objets recomposés de Pellegrinuzzi