Entrer dans une construction de Laurent Pariente, c'est pénétrer dans un espace libre, sans centre ni périphérie ; c'est accepter d'abandonner ses repères, de se laisser guider au gré de la lumière ou de l'obscurité, de se perdre dans les circonvolutions de l'écriture du maître d'œuvre. Après des installations remarquées à la galerie Jean-François Dumont à Bordeaux, à celle de l'Ancienne Poste de Calais ou à l'Institut Henry Moore à Leeds, Laurent Pariente présente cet automne une nouvelle sculpture-architecture invitant à une réflexion sur la perception de l'espace et le rapport à l'œuvre.
Galerie cent 8, 12 septembre 31 octobre.
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Le dédale Pariente
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°499 du 1 septembre 1998, avec le titre suivant : Le dédale Pariente