Le sillage des comètes, le tracé sinueux de la foudre, le scintillement des étoiles... Daniel Pommereulle aime les éléments instables, les embrasements fugitifs et les mouvements aléatoires. Il s'en inspire dans ses dessins qui balancent entre abstraction et figuration, et surgissent sur le papier tels des « fantômes de sculptures ». Autre source de l'inspiration de l'artiste, aujourd'hui âgé de soixante ans, les poèmes de Hölderlin, cet écrivain allemand qui, comme lui, communiait avec l'Éther, le Soleil et la Terre. Les vers de « flüchtig » (fragments) lui ont suggéré ses récents dessins... et le titre de cette nouvelle exposition.
Galerie Di Meo, jusqu'au 21 novembre.
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La galaxie Pommereulle
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°501 du 1 novembre 1998, avec le titre suivant : La galaxie Pommereulle