« Un vrai collectionneur peut devenir fou, et c‘est ce qui m‘est arrivé... ». À voir les huit cents pièces d‘orfèvrerie, tabatières et mosaïques amassées par Arthur Gilbert, on peut effectivement s‘interroger sur le degré de « collectionnite » atteint par cet Américain d‘origine anglaise. Quant au legs de la totalité de sa collection à la Grande-Bretagne, il peut en laisser pantois plus d‘un. Avant son installation définitive dans un écrin spécialement rénové à cet effet – la Somerset House de Londres – une sélection de quarante pièces d‘orfèvrerie fait actuellement le tour de l‘Angleterre, sur le thème du « patrimoine national retrouvé », la plupart ayant été fabriquée pour de prestigieux commanditaires anglais tel le Duc du Sussex.
YORK, Fairfax House, jusqu‘au 28 décembre.
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La collection Gilbert de retour au bercail
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°500 du 1 octobre 1998, avec le titre suivant : La collection Gilbert de retour au bercail