Le silence est important. Et le calme des choses, des arbres et des corps, la paix des pierres, l’inconnu des écorces.
Le peintre Jörg Langhans (né en Allemagne en 1966, arrivé en France en 1984) pose les questions : « Est-ce que le monde n’est que surface ? N’y a-t-il rien derrière les apparences ? » Il ne répond pas avec des mots. Il laisse les écorces de boulot se détacher du tronc, les regarde avec désir. Puis il peint les apparences qui ont protégé la vie de l’arbre. Ses écorces sont vivantes. Entre 1 500 et 20 000 euros.
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Jörg Langhans, en galerie
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Cet article a été publié dans L'ŒIL n°665 du 1 février 2014, avec le titre suivant : Jörg Langhans, en galerie