Patrice Trigano présente une trentaine de peintures d’Henri Michaux (1899-1984), dont la plupart sont inédites et proviennent de la succession de l’artiste. Si l’on connaît bien ses encres, sa peinture a été jusqu’à présent peu montrée où, dans des visions-apparitions en perpétuelles métamorphoses, le poète passe des foules aux paysages. Relais à l’écriture, la peinture lui permettait de décloisonner son langage afin de voyager vers un « état rupestre des signes ».
Galerie Patrice Trigano, 4 bis, rue des Beaux-Arts, Paris-6e, jusqu’au 29 octobre 2011.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Henri Michaux
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°639 du 1 octobre 2011, avec le titre suivant : Henri Michaux