Du temps et de la nature, le Britannique Andy Goldsworthy fait ses œuvres. Il collecte, amasse, photographie. On se souvient de son intervention au Théâtre de la Ville lorsque, à la demande de la chorégraphe Régine Chopinot, il avait dressé une colonne de pierres en équilibre derrière un écran de végétaux. Il revient à Paris pour créer une installation originale. Le temps d’une exposition.
Galerie Lelong, 4 juin-24 juillet.
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Goldsworthy l’arpenteur
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°497 du 1 juin 1998, avec le titre suivant : Goldsworthy l’arpenteur