La peinture a ses secrets que peu d’artistes s’appliquent à vouloir percer. À sa façon, en lui donnant tout son temps, Éric Dalbis est de ceux-là.
Ses peintures – ou plutôt ses icônes – s’offrent au regard comme autant de sublimes étendues dont les vibrations chromatiques ouvrent sur des espaces indicibles et impalpables. Il y va de l’ordre d’une épiphanie, celle d’un lieu mémorable dont le temps a absorbé toute trace pour ne plus laisser voir que l’effluve d’une présence. Éric Dalbis, le retour et la permanence.
Galerie Placido, 41, rue Chapon, Paris-3e, www.galerie-placido.com
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Éric Dalbis
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Cet article a été publié dans L'ŒIL n°650 du 1 octobre 2012, avec le titre suivant : Éric Dalbis