Gaston Bachelard louait le « cosmos de fer » d‘Eduardo Chillida, ce travail tendu vers l‘abstraction, où convergent mise en valeur du vide et méditation sur la variabilité des formes. L‘exposition de Valence réunit une cinquantaine de ses œuvres en fer forgé, des sculptures à la fois minimalistes et lyriques, puisant aux sources des traditions ancestrales des maîtres ferronniers du pays basque, mais dressées comme un support de réflexion pour l‘avenir.
VALENCE, IVAM, 1er octobre-6 décembre.
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Eloge du fer
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°500 du 1 octobre 1998, avec le titre suivant : Eloge du fer