En confrontant les œuvres des peintres à celles du poète, le Musée départemental Stéphane-Mallarmé à Vulaines-sur-Seine, recrée l’atmosphère du Paris des années 1890 (jusqu’au 4 mars 2001, tél. 01 64 23 73 27).
La succession des peintures, lithographies, textes et photographies, montre la proximité esthétique des trois hommes et les liens amicaux qui les unissaient, illustrés par leur collaboration à La Revue blanche. Les Intérieurs aux tentures roses de Vuillard (1899) rappellent ainsi le poème Frisson d’hiver (1864) par son intimité suggérée, tandis qu’une même sensualité rapproche les illustrations de Bonnard pour Parallèlement de Verlaine (1900) et L’Après-midi d’un faune de Mallarmé (1876).
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
« Bonnard et Vuillard sous le regard de Mallarmé »
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°114 du 3 novembre 2000, avec le titre suivant : « Bonnard et Vuillard sous le regard de Mallarmé »