Dans les années 1860, le Japon passe brusquement d’une longue période de claustration volontaire à l’ouverture de ses frontières. Les arts traditionnels, d’abord menacés de disparition, sont remis à l’honneur par l’Etat qui fait à son tour céder l’Occident aux charmes du japonisme lors des Expositions universelles notamment. Laques, céramiques et cloisonnés sont aujourd’hui exposés dans la Tour japonaise qui fut, en 1911, la vitrine des échanges économiques entre la Belgique et le Japon.
Bruxelles, Tour japonaise, jusqu’au 10 janvier.
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Au pays du Soleil levant
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°497 du 1 juin 1998, avec le titre suivant : Au pays du Soleil levant