Dossier
Y a-t-il vraiment une capitale mondiale
du marché de l’art ? Nous vivons maintenant dans un monde multipolaire où la notion de centre unique a disparu. Les richesses se sont déployées sur toute la planète, et avec elles
les collectionneurs et les places de marché. Dans le même temps, le transport aérien
a crû dans des proportions considérables,
et il est devenu possible de se déplacer pour
de courts séjours partout sur la planète. Maastricht en mars pour Tefaf, Hongkong
(Art HK) en mai, Bâle en juin, la Biennale des antiquaires de Paris en septembre, la Fiac
en octobre, Art Basel Miami en décembre…,
la liste des temps forts ne cesse de s’allonger.
Les recettes du succès sont connues : une manifestation poids lourd qui entraîne avec d’elle d’autres événements (foires off, ventes publiques) justifiant encore plus la venue de ces nouveaux touristes culturels. Un « spot » est en train de se constituer à Paris à la fin du mois de mars : quatre foires originales, un « off » balbutiant mais des ventes aux enchères de dessin bien établies. Ce n’est sans doute pas encore assez pour attirer les jet-setters internationaux de l’art, mais c’est un bon début.
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