RIVOLI”ˆ- Influencé par Hogarth et Goya, le Sud-Africain William Kentridge tire de l’actualité et des tensions de son propre pays des fables modernes sur la mémoire, la responsabilité ou le désir.
Du dessin au film en passant par des dispositifs théâtraux, le Castello di Rivoli propose une importante rétrospective de l’artiste, connu pour la touche expressionniste et virtuose de ses œuvres au fusain. L’exposition, qui ira ensuite à Düsseldorf, Sydney, Montréal et Johannesburg, comprend ses tout premiers travaux – des monotypes de 1979 – mais également un nouveau court-métrage, Tide Table (2003). La manifestation est également pour Kentridge l’occasion de signer un accrochage spécifique qui articule dessins et sculptures.
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Sombres dessins
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°184 du 9 janvier 2004, avec le titre suivant : Sombres dessins