NANTES - En 2002, Corinne Diserens avait signé le commissariat de la participation croisée de Jean-Luc Moulène et Anri Sala à la XXVe Biennale de São Paulo (lire le JdA n° 146, 5 avril 2002).
Aujourd’hui directrice du Musée des beaux-arts de Nantes, elle a invité les deux protagonistes à revenir sur cette expérience, l’enrichissant d’œuvres qui n’avaient pas été présentées alors. À côté de Blind Fold, une vidéo dont il avait assuré la sonorisation au Brésil à partir d’images tournées en Albanie, et de Natural Mystic (Tomawhawk 2), dans lequel un de ses proches imite à la perfection le son d’un missile, Anri Sala expose Arena, une installation qui prend pour sujet le zoo de Tirana, et Uomo Duomo, courte saisie du sommeil d’un homme dans une église. Quant à Jean-Luc Moulène, il a renouvelé avec Ouest-France sa collaboration de l’an dernier au journal brésilien Valor econômico.
Le quotidien a tiré à 55 000 exemplaires 32 clichés de l’artiste. Une façon de faire « masse » dans le flot des images.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Retour du Brésil
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°183 du 19 décembre 2003, avec le titre suivant : Retour du Brésil
