NANTES - « «La belle peinture est dernière nous» est une phrase qui revient souvent chez ceux qui n’adhèrent pas à la peinture d’aujourd’hui » explique Eva Hober, galeriste et commissaire de cette exposition, dont la première édition a eu lieu en 2010 à Istanbul.
Il fallait une forte volonté pour réunir vingt-six artistes – tous nés entre 1970 et 1985 – et autant de propositions incroyablement denses, déployées sur de très grands formats, révélant une peinture figurative habitée de mythes et de corps, dans l’espace industriel de cette ancienne usine LU. Ces artistes, à l’exemple de Damien Cadio, Marlène Mocquet, Jérôme Zonder ou Stéphane Pencréac’h réinvestissent l’histoire de l’art, à chaque touche.
Le Lieu Unique, Quai Ferdinand-Favre, Nantes, jusqu’au 13 mai 2012
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« La belle peinture est dernière nous»
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°368 du 27 avril 2012, avec le titre suivant : « La belle peinture est dernière nous»