PARIS - Deux bottes de foin qui sentent encore l’écurie sont déposées devant une vidéo qui déroule des paysages ravagés et des architectures désolées de la Pennsylvanie profonde, sur fond de heavy metal. L’exposition d’Emy O’Neill au Centre culturel suisse, à Paris, entre de plein fouet dans l’univers de la jeune artiste américaine. L’efficacité esthétique de cette œuvre qui explore l’identité américaine en mêlant vidéo, dessins et sculpture se double d’une ironie mordante : réjouissant !
« Emy O’Neill, Forest, Garden & Joe »
Centre culturel suisse, 38, rue des Francs-Bourgeois, 75003 Paris, tél. 01 42 71 44 50. Jusqu’au 17 juillet.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Amérique « destroy »
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°348 du 27 mai 2011, avec le titre suivant : Amérique « destroy »