Le ministère de la Culture a validé les huit orientations issues du rapport d’avril dernier par une commission présidée par le directeur de la Villa Médicis, Éric de Chassey.
ROME - La commission veut recadrer une institution où les 15 pensionnaires sont un peu trop livrés à eux-mêmes avec la mise en place de séminaires de formation, la réalisation d’une œuvre collective, voire d’une exposition annuelle en France et de l’obligation d’apprendre l’italien. Pour mieux les suivre, deux chargés de résident seront embauchés. Le montant de leur rémunération ne change pas (2 000 €), mais sera transformé en bourse et indemnité de résidence. Il est prévu également d’augmenter le nombre de « lauréats » issus des écoles d’art pour de courts séjours. Tout en plaidant le maintien de l’interdisciplinarité, le rapport veut « réaffirmer, voire renforcer, le principe dexcellence comme critère du recrutement ». Un autre rappel à l’ordre ?
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Villa Médicis : fini la dolce vita
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°402 du 29 novembre 2013, avec le titre suivant : Villa Médicis : fini la dolce vita