Entre arts plastiques et danse, le cœur de Victoire Dubruel balance. Depuis 1996, elle est chargée de la direction du développement au Centre chorégraphique national de Tours (relations institutionnelles, communication et partenariat), un lieu dirigé par son ami le chorégraphe Daniel Larrieu.
Et puisque désormais Tourangelle, la voilà aussi présidente de l’Association des amis de l’École supérieure des Beaux-Arts de Tours. Une structure permettant à l’institution de recevoir des subventions pour ses activités parallèles comme les voyages de ses étudiants. Rappel de son passé artistique : avec Jacques Guillot, fondateur du Magasin de Grenoble et son école, elle vit avec enthousiasme les débuts de ce formidable projet. Dans la foulée, elle s’occupe des commandes d’œuvres liées aux espaces publics, de la programmation artistique du métro de Rouen à la définition d’une politique culturelle pour la RATP avec la ligne Météor.
Du monde artistique à l’organisation d’un centre chorégraphique, il n’y avait qu’un pas à faire. Victoire Dubruel l’a sauté avec bonheur.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Victoire Dubruel entre art et danse
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°509 du 1 septembre 1999, avec le titre suivant : Victoire Dubruel entre art et danse