Lors du troisième Congrès interprofessionnel de l’art contemporain qui s’est déroulé à Nantes les 15 et 16 novembre, Catherine Tasca, ministre de la Culture et de la Communication, n’a fait que de timides annonces.
Elle a confirmé la grande exposition à Paris en 2003 imaginée à partir des collections des 23 Frac, et l’installation de ces structures régionales dans de nouveaux locaux à Angoulême, Metz, Orléans, Amiens et Clermont-Ferrand.
De même, chaque année un musée présentera les dernières acquisitions du Fnac, en commençant par Grenoble en février 2002. À côté d’une réforme du 1 % et de la mise en place d’un fonds de production d’œuvres, de l’élargissement des aides aux galeries pour les foires de Cologne et New York, la ministre a soutenu la création d’un observatoire permanent de l’art contemporain que les congressistes ont appelé de leurs vœux.
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Un observatoire pour l’art contemporain
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°137 du 23 novembre 2001, avec le titre suivant : Un observatoire pour l’art contemporain