« J’ai toujours rêvé d’être conservateur », raconte Sophie Levy, 33 ans, le nouveau conservateur du Musée d’Art américain de Giverny. Un musée privé, financé comme le musée de Chicago, par la Terra Foundation for the Arts. Qui était M. Terra ? « Un Américain d’origine italienne qui a fait fortune dans les encres d’imprimerie à séchage rapide », précise-t-elle. Française, diplômée de l’Ecole nationale du Patrimoine, auparavant en poste au Musée des Beaux-Arts de Dijon, Sophie Lévy a une solide connaissance de la culture américaine. Auteur d’un travail sur Edward Hopper et sur la critique américaine de l’art minimal, elle veut mener « une politique muséale qui fait alterner expositions monographiques et expositions thématiques sur des aspects historiques de la diffusion des idées entre nos deux pays ». Pour le printemps 2001, le musée annonce déjà une rétrospective Merry MacMonnies et une exposition sur « L’héroïque et le quotidien » à partir d’œuvres choisies, évidemment, dans la collection Terra.
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Sophie Lévy entre Hopper et l’art minimal
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°523 du 1 février 2001, avec le titre suivant : Sophie Lévy entre Hopper et l’art minimal