BORDEAUX - Après le départ sous la forme d’une rupture conventionnelle de son directeur, Ashok Adicéam, qui a su installer dans le paysage de la scène contemporaine ce lieu d’art financé par un grand propriétaire de vignobles dans le Bordelais, des questions se posent sur le devenir de l’Institut culturel.
Les expositions prévues au printemps et consacrées à Johan Creten et à Xavier Veilhan ont été annulées. Bernard Magrez a prévu d’ouvrir en face du château Labottière, qui héberge les expositions, un hôtel de luxe accompagné d’un restaurant gastronomique signé Joël Robuchon. Ashok Adicéam entend pour sa part « profiter de cette opportunité pour aller plus loin dans son savoir-faire de producteur de contenus ».
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Quel avenir pour l’Institut culturel Bernard Magrez ?
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°407 du 14 février 2014, avec le titre suivant : Quel avenir pour l’Institut culturel Bernard Magrez ?