Cet été, à la Cité de la Musique, les affiches lacérées du plasticien Jacques Villeglé répondent au parcours musical du compositeur Pierre Henry. « Il utilise des bruits urbains et concrets », précise Jacques Villeglé. Son compère ajoute qu’il aime « considérer la musique comme partenaire d’autres champs artistiques ». Et de rappeler ses participations aux chorégraphies de Maurice Béjart (Symphonie pour un homme seul), son travail avec Boris Vian ou les plasticiens Yves Klein, Jean Degottex ou Georges Matthieu. « Mes œuvres naissent presque toujours d’un lieu, d’un contexte, d’une rencontre », précise, à 72 ans, celui que l’on a surnommé « le père de la musique techno ». D’ailleurs, le 15 juillet, il envahit de sons la façade du Centre Pompidou et mixe en direct une symphonie de rythmes baptisée Le Miroir du merveilleux.
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Pierre Henry, de Beaubourg à la Villette
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°518 du 1 juillet 2000, avec le titre suivant : Pierre Henry, de Beaubourg à la Villette