Cinquante ans après le Grand Prix de la Biennale de Venise attribué à Robert Rauschenberg qui symbolisait la domination américaine, New York est-elle toujours la capitale de l’art ?
Cinquante ans après le Grand Prix de la Biennale de Venise attribué à Robert Rauschenberg qui consacrait l’école de New York (seconde génération), la métropole américaine est-elle toujours la capitale des arts ? Si elle n’est plus le centre de la création qui aujourd’hui éclôt un peu partout sur la planète, elle reste incontestablement le lieu de reconnaissance internationale des artistes du monde entier.
Les deux expositions phares du moment, celle de Carl Andre au Dia:Beacon et celle de Jeff Koons au Whitney Museum, l’un et l’autre vivant et travaillant à New York, consacrent deux versants de l’art contemporain. C’est à New York que l’on trouve les plus grandes collections d’art des XXe et XXIe siècles dans de prestigieuses institutions. C’est à New York qu’il existe le plus grand nombre de galeries dont beaucoup disposent de filiales dans le monde entier. C’est à New York enfin où convergent les plus grands collectionneurs de la planète, ajoutant à la reconnaissance internationale la reconnaissance par le marché.
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New York aimante le monde des arts
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°419 du 19 septembre 2014, avec le titre suivant : New York aimante le monde des arts