GENÈVE - Une tapisserie sur le thème de la paix, commandée par la France en 1930 pour le Palais des nations de Genève, va enfin rejoindre les murs des Nations unies... avec un retard de soixante-quinze ans lié aux vicissitudes politiques de l’Europe au XXe siècle. Réalisé par le peintre Othon Friesz et achevé en 1937, alors que s’accélère la marche à la guerre, l’ouvrage ne sera jamais offert à la Société des Nations (ancêtre des Nations unies). Après la fin de la guerre, la tapisserie est jugée trop démodée, et il faudra attendre 2005 pour qu’elle prenne enfin le chemin de Genève, à l’occasion du 60e anniversaire de l’ONU.
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Mieux vaut tard que jamais…
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°220 du 9 septembre 2005, avec le titre suivant : Mieux vaut tard que jamais…