PARIS - Selon Philippe Marini, sénateur-maire de la Ville de Compiègne, un Musée Mémorial de l’internement et de la déportation devrait ouvrir au courant du mois de février sur le site de l’ancien camp de Royallieu.
« Site puissamment synthétique », dans une ville où furent signés « l’armistice de la gloire », le 11 novembre 1918, et « l’armistice de la honte », 22 ans plus tard, a rappelé le sénateur-maire, le Mémorial illustrera les années noires de l’Occupation. L’historien Christian Delage et l’architecte-scénographe Jean-Jacques Raynaud ont conçu le nouveau musée sur le site de l’établissement militaire transformé en camp d’internement après l’armistice de 1940.
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Mémorial prévu
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°272 du 4 janvier 2008, avec le titre suivant : Mémorial prévu