Logé dans un bâtiment de verre conçu par l’architecte Bernard Tschumi au pied du site antique, le nouveau Musée de l’Acropole vient d’ouvrir ses portes après moult péripéties (lire le JdA no 277, 14 mars 2008, p. 18).
ATHÈNES - Offrant un point de vue unique sur le Parthénon (Ve siècle avant J.-C.), l’édifice se déploie sur 15 000 m2 et expose plus de 350 vestiges. Point d’orgue de la visite, la salle dite « du Parthénon » reconstitue, à l’aide de quelques vestiges conservés à Athènes et de copies, les fameuses frises, ou « marbres d’Elgin », conservées à Londres, que la Grèce réclame à cor et à cri depuis plus de vingt ans. Le British Museum, où elles sont exposées, avait proposé de les prêter à condition que la Grèce reconnaisse les droits de propriété du musée britannique. Athènes a refusé cette proposition le 11 juin, estimant que son acceptation « légaliserait le pillage ».
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À l’ombre du Parthénon
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°306 du 26 juin 2009, avec le titre suivant : À l’ombre du Parthénon