Helsinki, Paris. Malgré son statut de paria aux yeux d’une partie de la communauté internationale, la Russie continue à bénéficier du droit international.
Ainsi la Finlande, qui avait saisi dans un premier temps des œuvres d’art de retour d’Italie et du Japon où elles avaient été prêtées, les a finalement rendues à la Russie. Certaines appartiennent au Musée de l’Ermitage à Saint-Pétersbourg. En France, il n’est pas question de saisir la collection Morozov exposée tout l’hiver dernier à la Fondation Louis Vuitton. Seules deux œuvres resteront sur le territoire : un tableau appartenant à un oligarque russe frappé par les sanctions et un autre appartenant à l’Ukraine, qui sera rendu lorsque la situation militaire le Permettra.
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L’imbroglio des restitutions d’art à la Russie
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°587 du 15 avril 2022, avec le titre suivant : L’imbroglio des restitutions d’art à la Russie