Paris. Selon l’hebdomadaire Challenge, le passif de la Pinacothèque, fermée en février 2016, serait de l’ordre de 10 millions d’euros.
Par ailleurs, le Parquet enquêterait sur des mouvements de fonds suspects sur les comptes de son fondateur Marc Restellini. « Si une enquête avait été ouverte, je veux croire et suis certain qu’elle aboutira à lever tout soupçon quant à ma probité et mon intégrité », a indiqué celui-ci au Journal.
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L’ex-Pinacothèque de Paris dans le collimateur de la justice
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°485 du 22 septembre 2017, avec le titre suivant : L’ex-Pinacothèque de Paris dans le collimateur de la justice