Dans l’exposition « Micropolitiques » présentée au Magasin de Grenoble par le critique d’art Paul Ardenne et par Christine Macel, les œuvres traitent du politique au niveau « moléculaire ». Daniel Buren, Regine Kolle ou Uruburu font également, dans le catalogue qui l’accompagne, des « propositions ». Commissaire d’expositions, Christine Macel prépare également sa deuxième version du Printemps de Cahors (16 juin-2 juillet), manifestation prestigieuse qui sera l’invitée 2000 de la foire de Bâle (21-26 juin) à la demande de son nouveau directeur Samuel Keller. Professeur à l’École du Louvre, le conservateur à la Délégation aux Arts plastiques trouve aussi le temps d’écrire sur les artistes, « ceux dont j’ai envie de parler comme Kendell Geers ou Malachi Farrell ». Car ce qui intéresse avant tout Christine Macel, c’est d’« inventer des modalités d’échanges avec des gens qui puissent nous surprendre ».
Le Magasin, 155, cours Berriat, 38000 Grenoble, tél. 04 76 21 95 84, jusqu’au 30 avril.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Les politiques de Christine Macel
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°513 du 1 février 2000, avec le titre suivant : Les politiques de Christine Macel