New York. Un litige opposait depuis 2005, année de décès du sculpteur, ses enfants à sa dernière femme, Corice Canton, épousée en 1971.
En jeu, la titularité du droit moral de l’artiste. Les batailles judiciaires et l’incertitude sur les certificats d’expertise ont mis à mal la cote de l’artiste, incitant les parties à s’accorder pour protéger leurs patrimoines respectifs. Un « comité Arman », composé des deux parties, va être constitué pour assurer l’authentification, publier un catalogue raisonné et édifier un musée.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Les héritiers d’Arman trouvent un accord
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°490 du 1 décembre 2017, avec le titre suivant : Les héritiers d’Arman trouvent un accord