Pièces de coton, étamines de laine, bains de couleurs, métiers à tisser, broderies... Tous ces éléments appartiennent à la vie de Brigitte Perkins. Envoyée au Maroc par l’association Artwear (protection du patrimoine artisanal mondial), la voilà aujourd’hui associée à 15 tisserands de Marrakech. Les sortant de leur production de djellaba, elle les fait travailler pour des décorateurs internationaux. Ses tissus sont un must. Leurs éclats illuminent nombres d’hôtels particuliers. Elle dessine les motifs et étend la gamme des couleurs. L’exécution doit être irréprochable. De plus, elle participe à une ambitieuse opération culturelle : restaurer un village connu pour son savoir-faire ancestral et lancer un label spécifique à ce lieu. Son but ? De la fabrication des navettes en bois d’olivier au tissage, sauvegarder, moderniser et revaloriser les traditions artisanales d’un pays qui sont sa richesse intrinsèque.
Sur rendez-vous uniquement, tél. 4 42 74 16.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Les étamines de Brigitte Perkins
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°510 du 1 octobre 1999, avec le titre suivant : Les étamines de Brigitte Perkins